LES ORIGINES
DÉBUTS
La wing arrive dans les années 80, c’est Jim Drake, pionnier également du Windsurf à Hawaï qui la développe.
En France, c’est le breton Roland le Bail qui développe un concept identique.
La planche à voile était en pleine explosion, la voile à bras n’a pas encore son support.
La concurrence avec le succès populaire du Windsurf qui va vivre une aventure extraordinaire est trop forte.
La voile raccordée à la planche n’a pas d’équivalent, alors la wing ne se développe pas.Le développement du paddle et du foil vont changer la donne.
ÉVOLUTION
Le foil lui aussi existe depuis longtemps, on se souvient de Laird Hamilton dévalant Jaws en surf tracté, un de ses multiples exploits.
Petit à petit le foil va s’imposer sur tous les supports naviguants.
Aujourd’hui il est incontournable, il va se retrouver aux prochains J.O.
La compétition en windfoil est d’un niveau extrêmement élevé, comme en kitefoil (bientôt au J.0).
Dans la voile légère aussi il est intégré aux Catamarans, dériveurs légers, il est présent depuis quelques années en course au large.
Dans la plaisance en général, arrive une panoplie de développement.
Dans l’industrie nautique des bateaux innovants sont soulagés par des foils.
La coque offre moins de surface mouillée lorsque l’on glisse sur les foils, la consommation est moindre, la pollution etc…
De façon générale l’intérêt du foil est de réduire la résistance et la trainée pour une glisse optimisée.
DÉBUTS
La wing arrive dans les années 80, c’est Jim Drake, pionnier également du Windsurf à Hawaï qui la développe.
En France, c’est le breton Roland le Bail qui développe un concept identique.
La planche à voile était en pleine explosion, la voile à bras n’a pas encore son support.
La concurrence avec le succès populaire du Windsurf qui va vivre une aventure extraordinaire est trop forte.
La voile raccordée à la planche n’a pas d’équivalent, alors la wing ne se développe pas.Le développement du paddle et du foil vont changer la donne.
ÉVOLUTION
Le foil lui aussi existe depuis longtemps, on se souvient de Laird Hamilton dévalant Jaws en surf tracté, un de ses multiples exploits.
Petit à petit le foil va s’imposer sur tous les supports naviguants.
Aujourd’hui il est incontournable, il va se retrouver aux prochains J.O.
La compétition en windfoil est d’un niveau extrêmement élevé, comme en kitefoil (bientôt au J.0).
Dans la voile légère aussi il est intégré aux Catamarans, dériveurs légers, il est présent depuis quelques années en course au large.
Dans la plaisance en général, arrive une panoplie de développement.
Dans l’industrie nautique des bateaux innovants sont soulagés par des foils.
La coque offre moins de surface mouillée lorsque l’on glisse sur les foils, la consommation est moindre, la pollution etc…
De façon générale l’intérêt du foil est de réduire la résistance et la trainée pour une glisse optimisée.
LE FOIL EST UNE RÉVOLUTION
Le kite et le windsurf ont très vite adopté le foil, et cela produit des engins d’une grande performance.
Le surf et le paddle ont emboité le pas, le foil prend sa place sur pratiquement tous les supports.
Revenons à la wing. Quelques un ont testé sur leur Sup et ont apprécié la continuité du cruising (balade) qu’apporte le paddle. D’autres ont utilisé sur leur paddle foil la wing, ils ont certainement trouvé le support le plus optimisé pour la wing actuellement avec le surffoil. (même principe avec une planche de très faible volume : programme : Elite …)
Il reste la pirogue, le canoë, le skate, le ski, le roller, le patin à glace, le vélo, le cheval… et pourquoi pas la descente de pierriers dans les Cévennes ou ailleurs, si vous avez des idées : lâchez vous -;)
L’activité est en devenir et en progression constante. Le wingfoil, encore moins le wingsup ne sont pas performants en termes de vitesse pour l’instant. On s’inscrit dans la continuité du Paddle et du Surf pour le Foil. Nous sommes dans un esprit « glisse » ( là, Kitesurfoil et Windsurfoil sont ultraperformants).
Les pionniers du Wingsupfoil et Wingsurffoil explorent des champs de glisses notamment le DownWind. Plein vent arrière, le foil porté par la houle. Grâce à la wing (la voile que vous tenez par des poignées) vous pouvez vous éloigner et prendre le large facilement pour surfer la houle. La remontée au vent est elle très facile, le foil offre un très bon gain au vent, et comme vous n’avez pas de surface mouillée, (ou très peu ) pas de carène qui percute les vagues de face et freine l’engin, malgré la faible vitesse vous remontez très vite vers le vent et enchainez les descentes.
Surfer la houle du large à l’infini dés 8/12 Nœuds (cela va certainement évoluer) selon votre équipement.
LE FOIL EST UNE RÉVOLUTION
Le kite et le windsurf ont très vite adopté le foil, et cela produit des engins d’une grande performance.
Le surf et le paddle ont emboité le pas, le foil prend sa place sur pratiquement tous les supports.
Revenons à la wing. Quelques un ont testé sur leur Sup et ont apprécié la continuité du cruising (balade) qu’apporte le paddle. D’autres ont utilisé sur leur paddle foil la wing, ils ont certainement trouvé le support le plus optimisé pour la wing actuellement avec le surffoil. (même principe avec une planche de très faible volume : programme : Elite …)
Il reste la pirogue, le canoë, le skate, le ski, le roller, le patin à glace, le vélo, le cheval… et pourquoi pas la descente de pierriers dans les Cévennes ou ailleurs, si vous avez des idées : lâchez vous -;)
L’activité est en devenir et en progression constante. Le wingfoil, encore moins le wingsup ne sont pas performants en termes de vitesse pour l’instant. On s’inscrit dans la continuité du Paddle et du Surf pour le Foil. Nous sommes dans un esprit « glisse » ( là, Kitesurfoil et Windsurfoil sont ultraperformants).
Les pionniers du Wingsupfoil et Wingsurffoil explorent des champs de glisses notamment le DownWind. Plein vent arrière, le foil porté par la houle. Grâce à la wing (la voile que vous tenez par des poignées) vous pouvez vous éloigner et prendre le large facilement pour surfer la houle. La remontée au vent est elle très facile, le foil offre un très bon gain au vent, et comme vous n’avez pas de surface mouillée, (ou très peu ) pas de carène qui percute les vagues de face et freine l’engin, malgré la faible vitesse vous remontez très vite vers le vent et enchainez les descentes.
Surfer la houle du large à l’infini dés 8/12 Nœuds (cela va certainement évoluer) selon votre équipement.